Bien qu’il existe de nombreuses raisons qui nous donnent envie d’avoir un chien comme par exemple d’avoir de la compagnie, de l’affection ou encore d’avoir un ami fidèle, il ne faut pas oublier tous les désagréments qu’occasionne la vie avec un chien. Si vous vous posez la question « suis-je fait pour avoir un chien ? », cet article vous permettra de comprendre les inconvénients qu’il peut y avoir lorsqu’on est responsable d’un chien et si vous êtes prêt à en adopter un.
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1 – Ne pas avoir de chien par manque de temps.
Bien qu’un chien ait besoin de beaucoup de sommeil dans sa journée, entre 12 et 14 heures, Il est également nécessaire de lui apporter des activités. Si nous travaillons toute la semaine, il nous faudra être sûre de trouver du temps à consacrer chaque jour à notre chien pour pouvoir aller le promener. Il aura besoin que les balades durent au minimum 30 minutes par jour, sans parler des petites sorties hygiéniques qui doivent se compter entre 4 et 5 fois.
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2 – Le durée de travail.
La durée de vos absences est sans doute l’inconvénient le plus important à prendre en compte avant de prendre un chien. Si vous partez chaque jour pendant plus de 8 à 10 heures d’affilée sans que votre chien ne puisse être sorti et avoir la présence de quelqu’un, il est préférable d’éviter l’adoption. Pendant ce laps de temps, le chien aura sûrement envie de faire ses besoins. Un chien qui est obligé de se retenir trouvera ce moment très désagréable, et c’est également mauvais pour sa santé. Si vous devez partir aussi longtemps et que vous avez un chien ou que vous souhaitez en adopter un, vous pouvez envisager faire appel à un voisin, un ami, un membre de la famille ou un pet-sitter pour que votre chien puisse avoir une sortie pendant votre absence.
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3 – Un tempérament trop impatient.
L’éducation d’un chien demande beaucoup de patience, surtout s’il s’agit d’un chiot. Il faudra lui apprendre la propreté et le rappel mais également à bien vivre dans la société des humains. En fonction du caractère du chien, tous ses apprentissages pourront être plus ou moins longs. Il faut donc être prêt à être patient pour accompagner le chien afin qu’il puisse apprendre à son rythme. Le chien pourra avoir des comportements qui nous décevrons, il faudra alors réagir calmement pour enseigner au chien une autre façon de faire.
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4 – Remplacer un autre chien.
Nous pouvons être tellement tristes d’avoir perdu un de nos compagnons que nous allons rechercher un chien que nous voudrions identique au précédent. Chaque chien est différent, il est donc impossible de tomber deux fois le même tempérament. Il conviendra de s’adapter au nouveau chien, à son tempérament, ses comportements, etc. Il est essentiel de se poser les bonnes questions lorsque nous souhaitons reprendre un chien suite à la perte de nôtre compagnon à quatre pattes. Avons-nous suffisamment de motivation pour nous investir dans l’éducation et les besoins de ce nouveau compagnon ? Prenons-nous un chien pour les bonnes raisons ou seulement pour remplacer l’ancien ? Est-ce que l’arrivée de ce nouveau compagnon ne m’empêchera pas de faire le deuil de l’ancien ? Ce n’est qu’après avoir répondu clairement à ces questions que nous pourrons envisager l’adoption d’un nouveau chien.
5 – Le compagnon de jeu des enfants.
Prendre un chien pour qu’il tienne compagnie et qu’il s’amuse avec les enfants n’est pas une solution judicieuse. Ce chien ne voudra pas forcément avoir ce rôle, il préférera peut-être être au calme et il pourrait avoir un tempérament tranquille et détester l’agitation. Il est également possible de vivre un autre scénario, celle d’un chiot sevré trop tôt qui a tendance à beaucoup mordiller et qui finit par faire peur aux enfants. Ils pourront alors le prendre en grippe et ne pas avoir envie de passer du temps avec lui. Il faudra donc trouver des solutions pour que le chien et les enfants s’accordent en fonction de leurs tempéraments et du temps pour chacun afin que tout le monde trouve enfin sa place.
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6 – Ne voir que le côté positif du chien.
Un chien n’est pas uniquement synonyme de moments agréables car il apporte avec lui de nombreuses contraintes. Il peut s’agir des promenades obligatoires, chaque jour, par tous les temps et en toute saison. Il faut également penser au ménage qui sera plus conséquent en raison de la perte de poil. Et enfin, il faudra également lui accorder du temps et de l‘énergie quotidiennement, même si nous sommes fatigués.
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7 – la culpabilité lorsqu’on laisse le chien seul.
De nombreux propriétaires de chiens culpabilisent de devoir laisser seuls leur compagnon pour aller travailler mais également lorsqu’ils sortent en soirée chez des amis ou au restaurant par exemple. Il faut donc être prêt à vivre cette culpabilité et à l’accepter, faute de quoi il serait préférable de ne pas prendre de chien.
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8 – Les vacances à organiser.
C’est souvent pendant les vacances que l’on peut réaliser l’inconvénient d’avoir un chien. Avant d’adopter un chien, il faut penser aux futures vacances et où le chien ira à ce moment-là. Ira-t-il en pension où partira-t-il avec vous ? Il peut s’avérer difficile de trouver une place pour lui en pension. Idem pour les lieux de vacances qui les acceptent. Il faut donc se préparer aux désagréments qu’engendre la préparation des vacances lorsqu’on a un chien.
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9 – le côté financier comme inconvénient d’avoir un chien
Chaque mois, un chien coûte une certaine somme d’argent qui variera en fonction de sa taille. Ces dépenses comprennent les frais d’entretien (antiparasitaire, vermifuge, toilettage, etc), son alimentation, le matériel, etc. Toutefois, ces frais ne prennent pas en compte une éventuelle maladie ou un accident qui peuvent vite occasionner des grosses dépenses imprévues. Il faut donc posséder suffisamment d’argent de côté pour pallier à ces ennuis potentiels.
10 – le mauvais choix de la race du chien.
Certaines personnes peuvent faire un mauvais choix en prenant un chien qui ne leur correspond pas. Voici des exemples des conséquences négatives auxquelles on peut s’attendre : Un chien qui devient incontrôlable, un chien trop énergique qui n’arrive pas à se canaliser, un chien trop brute qui bouscule tout le monde, etc. C’est pourquoi, il est conseillé de bien se renseigner sur la race qui vous intéresse en prenant contact avec des propriétaires ou des éleveurs de cette race. Il n’est jamais recommandé de se focaliser que sur le physique du chien pour faire son choix.
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